SUFFIT-IL D’ÉCRIRE DANS LA LANGUE DE MOLIÈRE POUR ÊTRE RECONNU COMME UN ÉCRIVAIN FRANÇAIS ?
On dit « sa langue d’écriture est le français, bien que le français ne soit pas sa langue maternelle », mais en vérité on induit « il n’est pas d’ici, il est d’ailleurs ». Donc, il est autre. Quelle est la nature qui lie l’écrivain étranger à la nation littéraire qui l’a accueilli ?