Les étudiants LEA de l'UFR STGI ont créé des boissons non alcoolisées

Le défi était de taille pour un marché hyper compétitif. Il s’agissait pour les étudiants de travailler en groupe et de trouver la bonne idée en passant de la théorie à la pratique.

Les étudiants ont élaboré une stratégie marketing complète :  étude du marché, législation, création d’un packaging, choix des canaux de distribution, calcul des coûts, marges dégagées, plan de communication et perspectives de développement. À l’issue d’un travail de 4 semaines, les étudiants ont fièrement présenté leurs projets devant toute la promotion. Préparer un argumentaire était certes l’un des enjeux de ce projet mais ils ont pleinement utilisé les compétences acquises dans d’autres cours : communiquer efficacement grâce à une présentation dynamique et interactive, se détacher de ses notes et être à l’aise à l’oral. 

Pour ce tout dernier "devoir", les étudiants ont pu mesurer le chemin parcouru depuis leur première année de licence : 

« Notre objectif premier était de proposer une boisson éco-responsable, dans l’air du temps et à des prix abordables tout en collant aux réalités du marché. Mais il y a eu aussi le fait de travailler ensemble, autour d’idées de prime abord différentes, mais que nous avons su développer pour en faire un travail commun et cohérent. Être en présentiel nous a permis de créer une réelle cohésion au sein de notre équipe car d’une bonne ambiance résulte de belles idées. Nous n’étions pas stressés pour présenter notre projet car nous le connaissons par cœur.

Ce qui nous a le plus intéressé ? C’est la liberté qui nous a été donnée pour développer notre projet. Nous n’avions pas de limites, ni de restrictions, et étions libres de laisser parler notre imagination.

Et puis être dans le concret, c’est motivant : créer un logo, une étiquette, faire une enquête auprès de nos proches, étudier leurs réactions. Nous sommes encore à l’université, mais avec ce projet, nous avons clairement mis un pied dans le monde du travail. » 

Certains groupes prévoient d’ailleurs de commercialiser leurs produits. À suivre…