Véronique Cassarin-Grand, Le Nouvel Obs
Un premier roman qui vibre d’une colère nourrie contre l’injustice sociale.
Sophie Joubert, L’Humanité
À la croisée du point de vue de l’enfant et du regard rétrospectif de l’adulte, Les Caractériels saisissent par un ton neuf, mélange de satire, de lucidité et de tendresse sur cette famille qu’on appellerait aujourd’hui dysfonctionnelle.
Christian Authier, Le Figaro littéraire
C’est avec un humour salvateur, parfois grinçant, parfois noir, que Martial Cavatz décrit une humanité en souffrance (…) il y a mille bonheurs de lecture dans ce livre et l’on attend la suite !
Florence Bouchy, Le Monde des livres
Evitant aussi bien l’écueil du misérabilisme que celui de la glorification d’un parcours déjouant tous les pronostics, il laisse entendre une voix joyeuse et lucide dont on attend avec curiosité qu’elle nous livre la suite de ses aventures.
Delphine Peras, L’Express
Les Caractériels suivent le chemin escarpé d’un minot « déclassé » et « à grosses lunettes », mais à l’envie furieuse d’en découdre avec son fichu fatum.
Jérôme Leroy, Marianne
Martial Cavatz ne juge jamais, il ne surplombe jamais, on croirait parfois retrouver quelque chose du cinéma italien de Risi ou de Scola dans cette peinture sans concession mais sans pathos de la misère. Ce qui l’intéresse, sa vraie revanche, c’est de transformer sa vie en littérature. Et avec ces Caractériels, on peut dire que c’est parfaitement réussi.
Serge Quadruppani, Lundi matin
Il faut laisser le plaisir aux lecteurs de découvrir combien ils peuvent être déchirants, désopilants et déconcertants, les pauvres de Besançon, autant que ceux de l’Utah, et en plus, nul besoin de menace nucléaire ou de serial killer pour qu’ils nous passionnent : il suffit d’attraper, comme Martial Cavatz, le ton juste, de laisser aller un flot langagier limpide, de tenir la bonne distance et nous voilà embarqués.