Vue du haut d'un hall rempli de stands et de visiteurs
Ludovic Godard
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L’université de Franche-Comté a ouvert ses portes

Comme chaque année, les lycéens ont pu découvrir toutes les possibilités qui s’offrent à eux à l’université de Franche-Comté lors de deux journées portes ouvertes. Cette édition 2017 a été marquée par la présence de personnalités politiques locales.

L’université de Franche-Comté compte environ 30 000 apprenants dont 23 600 étudiants. Elle est répartie sur neuf campus dans quatre villes universitaires, avec deux principaux pôles : l’un à Besançon et l’autre dans le Nord Franche-Comté. Ses six UFR et quatre instituts et écoles ont ouvert leurs portes au grand public le 11 février à Besançon et le samedi précédent à Belfort, Montbéliard, Vesoul et Lons-le-Saunier.

La période coïncide avec l’ouverture de la plateforme nationale Admission postbac (APB) sur laquelle les lycéens doivent déposer leurs vœux d’orientation pour leurs études supérieures. Le moment est propice pour s’informer sur les cursus proposés à l’université de Franche-Comté, d’autant plus qu’à la rentrée prochaine, l’établissement affichera une carte des formations renouvelée. Pendant ces deux journées portes ouvertes (JPO), ils étaient 12 400 visiteurs à venir découvrir les campus, rencontrer des étudiants et écouter des enseignants-chercheurs recommander les mérites de leurs formations. Les lycéens et leurs parents ont pu se renseigner sur différents diplômes, principalement des DUT, licences, licences professionnelles et masters, dont certains peuvent être suivis à distance ou en alternance. La manifestation s’adressait également aux étudiants en quête de réorientation et aux personnes déjà entrées dans la vie active, l’université de Franche-Comté proposant également tous ses cursus en formation continue.

Jean-Luc Bardy, Jacques Bahi et jean-Louis fousseet, sis sur des chaises-node en train d'écouter Catherine Tirvaudey
Ludovic Godard

À noter cette année, la présence de personnalités politiques locales aux côtés de la délégation présidentielle de l’université et du Crous. Le 4 février à Montbéliard avaient fait le déplacement pour PMA1 : Noël Sassine, directeur général adjoint, Virginie Chavey, chargée de l'enseignement supérieur, Jean-François Klopfenstein, directeur du service Enseignement supérieur, recherche et formation, et Magali Gauthrot, chargée de la vie étudiante, ainsi que Ghénia Bensaou, chargée de la politique de la ville, vie des quartiers, emploi, formation à la Ville de Montbéliard. À Besançon le 11 février ont participé à la visite : Luc Bardi, conseiller régional délégué aux sites universitaires, Jean-Louis Fousseret, maire de Besançon et président de la CAGB, Antony Poulin, conseiller municipal délégué à la vie étudiante, Jacques Grosperrin, sénateur du Doubs, et Eric Alauzet, député du Doubs. Ils se sont rendus dans plusieurs UFR et IUT3 et ont rencontré leurs directeurs qui leur ont présenté les points forts de chaque établissement en matière d’aménagements, d’innovation pédagogique, de relations partenariales, de développement international ou encore de lien entre les formations et les besoins socioéconomiques locaux.

De part et d’autre, les liens entre l’université, les Villes et la Région, ont été réaffirmés. Jean-Louis Fousseret a souligné l'importance du positionnement du siège de la COMUE UBFC et de celui de l’académie à Besançon. Luc Bardi a affirmé la nécessité d'accompagner les bacheliers vers une meilleure insertion dans l'enseignement supérieur. Jacques Bahi, président de l’université, a souligné l’importance du travail mené avec les collectivités et l’État à travers les différents projets de réaménagements des campus, à la Bouloie et au centre-ville de Besançon ainsi qu’à Belfort, avec le projet Écocampus.

  1. Pays de Montbéliard Agglomération (PMA)
  2. Communauté d’agglomération du Grand Besançon (CAGB)
  3. UFR ST, UFR SJEPG, UPFR des sports, IUT Besançon Vesoul (départements Chimie et Information-communication), IUT de Belfort-Montbéliard, UFR STGI.